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Dr Pesigul, région Badakhshan-Nangarhar

Carte dressée par : Mines and industries Royal Gov. of Afghanestan.
Référence de feuille : 505 D III.
Système de référence : UTM grid.
Coordonnées : 35°20', 70°30'.
Échelle : 1/50 000.

Dr Rasta, région Badakhshan-Nangarhar

Carte dressée par : Afghan Cartographic Institute.
Référence de feuille : 505 D I.
Système de référence : UTM grid.
Coordonnées : 35°30', 70°30'.
Échelle : 1/50 000.

Du 03 au 12 février 2014

Photographies n° 20140203_01 à 20140203_03. Le 03/02/2014, le chairman de Ndatu et sa femme.
Photographies n° 20140204_01 à 20140204_03. Le 04/02/2014, réunion de Vicoba "Nsalalo", à Ndatu.
Photographies n° 20140205_01 à 20140205_07. Le 05/02/2014, C. Baroin et une amie, avec son fils et ses vaches, à Ndatu.
Photographies n° 20140207_01 à 20140207_17. Le 07/02/2014 (vendredi), Marché de Kikatiti, avec Maasai vendant leur bétail, motos taxi attendant leurs clients, bus (daladalas) à l'arrêt, gourdes à vendre, légumes, poissons séchés, céréales, stand Vodacom.
Photographie n° 20140208_01. Le 08/02/2014, le Mont Méru.
Photographies n° 20140209_01 à 20140209_02. Le 09/02/2014, Rizières à Makumira.
Photographie n° 20140212_01. Le 12/02/2014, à Ndatu, Champ de légumes de Marisha, un chef local du groupe d’âge des Kilovio.

Vicoba signifie « Village Community Banks ».

Du 04 au 09 mars 2014

Photographies n° 20140304_01 à 20140304_20. Le 04/03/2014, à Poli, réunion du clan Pallangyo; le secrétaire du clan fait le pointage des présents.

Photographies n° 20140305_01 à 20140305_02. Le 05/03/2014, à Ndatu, gamins jouant aux voitures.

Photographies n° 20140307_01 à 20140307_02. Le 07/03/2014, à Tengeru, école moderne et bus scolaire.

Photographie n° 20140308_01. Le 08/03/2014, portrait du « père » des Kilovio Ndesaulo Akyoo sur vidéo.

Photographies n° 20140309_01 à 20140309_02. Le 09/03/2014, cormorans au lac Duluti.

Du 09 au 17 janvier 2014

Photographies n° 20140109_01 à 20140109_08. Le 09/01/2014, à Arusha. Temple Sikh, gare des bus, mosquée, Maasai vendeurs de tanzanite.

Photographies n° 20140112_01 à 20140112_30. Le 12/01/2014, cérémonie de remise du diplôme Honoris causa au bishop Paulo Akyoo, à Usa River, dans une église.

Photographies n° 20140113_01 à 20140113_05. Le 13/01/2014, Agape Women Group, à Mulala, avec ruches et vente de fromages par Mama Anna.

Photographie n° 20140116_01. Le 16/01/2014, Tengeru.

Photographies n° 20140117_01 à 20140117_04. Le 17/01/2014, « Imbaseny school » fondée par Kleopa Akyoo, un pasteur luthérien, à Imbaseny.

Du 14 au 19 mars 2014

Photographies n° 20140314_01 à 20140314_03. Réunion de conciliation entre deux lignages Pallangyo, après un accident, à Ndatu, le 14/03/2014.

Photographie n° 20140314_04. Portrait du chef du clan pour le ward de Poli, le 14/03/2014.

Photographies n° 20140314_05 et 20140314_06. Réunion de conciliation entre deux lignages Pallangyo, après un accident, à Ndatu, le 14/03/2014.

Photographie n° 20140314_07. L’interprète de C. Baroin et sa petite fille, le 14/03/2014.

Photographies n° 20140314_08 à 20140314_11. Mama Siyoi (la femme de Kleopa Akyoo chez qui C. Baroin logeait durant la mission) dans sa cuisine, le 14/03/2014.

Photographies n° 20140315_01 à 20140315_03. Le 15/03/2014, à Njoro. Port de fourrage et c hamp de maïs et haricot.

Photographie n° 20140316_01. Le 16/03/2014, à Kimundo, nids sur fil électrique.

Photographie n° 20140317_01. Annonce de la coopérative pour la vente de café, le 17/03/2014, à Ndatu.

Photographies n° 20140317_02 à 20140317_04. Café dans la demonstration farm de la coopérative, le 17/03/2014, à Ndatu.

Photographies n° 20140317_05 à 20140317_06. Enfants chassant des larves d'insectes dans des trous, sous les feuilles de bananier, le 17/03/2014, à Ndatu.

Photographie n° 20140317_07. Bassins de pisciculture chez un fermier de Ndatu, le 17/03/2014.

Photographies n° 20140319_01 à 20140319_06. Le 19/03/2014 (mercredi), à Poli. Réunion du Comité Central, dit mringaringa, avec portraits des chefs du mringaringa et de Nkasiyoi, la femme qui promeut la langue ki-rwa.

Du 14 au 20 février 2014

Photographies n° 20140214_01 à 20140214_07. Le 14/02/2014, à Kilala, nids de serins dans un arbre et construction d'une maison.
Photographies n° 20140215_01 à 20140215_15. Le 15/02/2014 (samedi), Marché de Tengeru.
Photographie n° 20140219_01. Le 19/02/2014, à Singisi, Ndesaulo Melita Akyoo, le père générationnel de tous les Kilovio, devant sa maison avec John Urio, l’interprète et assistant de C. Baroin.
Photographies n° 20140220_01 à 20140220_05. Le 20/02/2014, près de Kilimanjaro Airport, plaine inondée en pays maasai, après l'orage.

Du 20 au 26 janvier 2014

Photographie n° 20140120_01. John Japhet déploie le drapeau du CHADEMA devant chez lui, le 20/01/2014, à Ndatu.
Photographie n° 20140120_02. Poissons mis à sécher, le 20/01/2014, à Ndatu.
Photographie n° 20140120_03. Vieillard, le 20/01/2014, à Ndatu.
Photographies n° 20140122_01 à 20140122_04. Le 22/01/2014, École KKKT de Poli.
Photographie n° 20140123_01. Le 23/01/2014, Funérailles du Colonel Sila Kaaya, à Nkoanrua.
Photographies n° 20140125_01 à 20140125_04. Le 25/01/2014, à Ndatu, vieille maison de bois, avec bougainvillées et bureau du village.
Photographies n° 20140126_01 à 20140126_24. Le 26/01/2014, Baptême de la petite fille de John Ruben Urio, l’interprète et assistant de C. Baroin, depuis l'épluchage des bananes, la cuisine, jusqu'à la cérémonie dans l'église AMEC et la réception chez le grand-père après le baptême.
CHADEMA est un parti politique conservateur en Tanzanie. C’est l’acronyme pour le Swahili “Chama cha Demokrasia na Maendeleo” qui signifie en anglais Party for Democracy and Progress.
KKKT signifie Kanisa la Kiinjili la Kilutheri Tanzania.
AMEC signifie African Methodist Episcopal Church.

Du 23 au 25 février 2014, à Momella et Engare Nanyuki

Photographies n° 20140223_01 à 20140223_05. Le 23/02/2014, à Momella (Engare Nanyuki). Catherine Baroin et la famille de Peterson, le premier interprète de C. Baroin dans les années 1990, devant le mont Meru.

Photographies n° 20140224_01 à 20140224_08. Le 24/02/2014, à Momella (Engare Nanyuki). Maison de terre devant le mont Meru, un chef de clan, spray sur champ de tomates, et la maison occupée par C. Baroin lors de sa première mission en 1992.

Photographies n° 20140225_01 à 20140225_20. Le 25/02/2014, à Engare Nanyuki. Irrigation des champs de tomates, spray, cultures, maison de torchis, décoration d'un bouchon de calebasse, le village de Nasula, une vendeuse de tomates, et la rivière Waato ou Engare Nanyuki river.

Du 23 au 27 mars 2014

Photographies n° 20140323_01 à 20140323_03. Le 23/03/2014, à Poli. Le tribunal, devant le mont Meru, avec le mringaringa (arbre sous lequel ont lieu toutes les grandes réunions).

Photographies n° 20140324_01 à 20140324_16. Le 24/03/2014, à Ndatu. Vente de salades, sentier menant à une maison, avec haie d'isaale, vaches et chèvres à l'étable, potager de légumes, élevage de poulets, chèvres sur pilotis.

Photographies n° 20140327_01 à 20140327_03. Le 27/03/2014, à Akheri, réservoir pour irrigation et filtre, sur la ferme de Jehovahroy Kaaya.

Du 27 janvier au 1er février 2014

Photographies n° 20140127_01 à 20140127_07. Le 27/01/2014, à Ndatu. Deux vieux Akyoo dans une veillée de deuil et une femme devant son ancienne maison.
Photographies n° 20140128_01 à 20140128_09. Le 28/01/2014, réunion du Vicoba "Nsalalo", à Ndatu.
Photographie n° 20140129_01. Le 29/01/2014, labour avec tracteur, à Ndatu.
Photographies n° 20140130_01 à 20140130_02. Le 30/01/2014, devise affichée à Karatu Estate, Ndatu.
Photographies n° 20140201_01 à 20140201_12. Le 01/02/2014 (samedi), réunion d'information sur les Vicoba au Bethel du KKKT, de Maji ya Chai.

Vicoba signifie « Village Community Banks ».
KKKT signifie Kanisa la Kiinjili la Kilutheri Tanzania.

Du bétyle d’al-Uzza à la chapelle de la Theotokos

Le temple de Dharih (22 m de long, 17 m de large, 15 m de haut) faisait partie d’un grand complexe : voie sacrée bordée d’un bain et d’un caravansérail, salles de banquets, puis deux grands parvis en enfilade, et un petit autel sacrificiel à côté du temple. Le tout fut bâti du Ier siècle au début du IIIè et fonctionna jusqu’au milieu du IVè. Un séisme (363) et la christianisation eurent raison du lieu de culte. La découverte en 1998-99 du décor sculpté, en partie intact, du couronnement de façade, a attiré l’attention du public et des musées : une architrave à rinceaux peuplés d’animaux, une frise où alternent figures du Zodiaque et Victoires qui les couronnent, un fronton aux centaures marins affrontés, couronnés par des Victoires en vol. Tout ce décor un peu pataud devait mettre en valeur une (ou deux ? ) divinité(s), peut-être féminine, trônant dans le tympan entre les valeureux ichthyocentaures. Mais, de cette al-Uzza, la grande déesse nabatéenne — proche de la syrienne Atargatis, et maudite par le Coran — ne subsistent que des fragments. À l’intérieur du temple, la divinité et ses parèdres étaient adorés sous forme de bétyles (pierres sacrées sans images). Au VIè siècle et au-delà, l’inscription grecque de l’église laisse penser qu’elle était consacrée à la Vierge.

Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques

L'exposition a été réalisée par Olivier Weller (UMR 8215, Trajectoires) et Martine Esline (MAE, USR 3225) à l'automne 2012.
L'auteur des textes et des photographies est O. Weller.

Texte d'introduction d'O. Weller
"A mi-chemin entre archéologie et ethnologie, cette exposition photographique retrace le parcours d'un chercheur à la poursuite d'un objet de recherche éminemment soluble, le sel.
Si le sel représente aujourd'hui un bien courant, une substance quasi inépuisable, aussi bien alimentaire qu'industrielle, il n'en a pas été de même dans de nombreuses sociétés préindustrielles. C'est au moins dès le Néolithique que les sociétés d'agriculteurs éleveurs en Europe ont cherché à l'extraire de ses divers supports naturels, soit dès le VIe millénaire avant J.-C. Actuellement, on associe plus volontiers l'exploitation du sel aux marais salants littoraux. Pourtant une grande majorité de la production a été et est encore réalisée par la chauffe artificielle d'une saumure ou bien par l'extraction de sel gemme.
Face à la disparité des salinités et des supports salés naturels (solide : roches, efflorescences, terres, sables, plantes ; liquide : eaux de mer, sources minérales, liquides physiologiques), les populations ont eu recours à une large gamme de techniques d'extraction. Toutefois, hormis l'exploitation du sel gemme, l'extraction du sel revient le plus souvent, parfois après lixiviation d'un produit salé, à traiter un liquide en le soumettant à une évaporation naturelle (sel solaire) ou bien artificielle (sel ignigène) jusqu'à cristallisation. Le sel en grain obtenu peut alors être utilisé tel quel ou bien emballé sous forme de pains durs de forme et de poids standardisés. Sous cette forme, il pourra être conservé et facilement transporté puis échangé sur de longues distances. La diversité de méthodes observables à travers le monde paraît alors intimement liée à celle des contextes environnementaux et au type de ressource salifère exploitée; elle répond aussi à la qualité du produit recherché (type de sels, cendres salées, sel en grains ou blocs de sel) et aux spécificités de la demande et du contexte social.
En privilégiant une approche ethnoarchéologique autour d'un objet de recherche à jamais disparu, il a été possible à la fois de construire un référentiel général des techniques de fabrication du sel, mais également, directement sur le terrain ethnographique, de documenter des formes d'exploitation (et de déchets) insoupçonnées et ainsi rechercher, sur le terrain archéologique, de nouveaux témoins d'exploitation ou revenir sur la fonction de certains vestiges. Plus encore, cette approche nous a permis d'avancer de nouvelles hypothèses sur la place de cette substance irremplaçable aussi bien dans la sphère domestique, technique que socio-économique.

A travers deux terrains ethnographiques, l'un en Nouvelle-Guinée (Indonésie et Papouasie Nouvelle-Guinée, Océanie) et l'autre en Moldavie (Roumanie, Europe), le sel produit, utilisé et manipulé revêt des fonctions bien diverses depuis le pain de sel standardisé utilisé dans les paiements, les échanges cérémoniels, voir comme monnaie primitive, et capable de circuler sur de longues distances à côté d'autres biens fortement valorisés, à un bien domestique et technique abondant sur place (sous forme de saumure) intensément exploité aussi bien pour la conservation alimentaire, l'alimentation animale, les usages thérapeutiques ou symboliques et, il y a encore peu de temps, pour la production de sel en bloc destiné à l'échange. Dans les deux cas, l'observation participante de l'archéologue, voire la fouille de structure ethnographique, a permis de préciser les réalités ethnographiques, mais surtout de construire plusieurs modèles prédictifs qui ont été testés sur le terrain archéologique. Ces derniers, même s'ils demeurent limités, ont permis de mettre à jour des situations passées inattendues pour le Néolithique et de mieux caractériser les fonctionnements sociaux des groupes qui l'ont manipulé et des processus historiques qu'il a accompagnés."

Remerciements
Ces recherches en Papouasie (Indonésie), Papouasie Nouvelle-Guinée et Roumanie ont été financées à travers plusieurs missions archéologiques du Ministère des Affaires Etrangères français (resp. P. Pétrequin, A. Coudart et O. Weller) ainsi qu'un projet CNRS-SHS (resp. OW) et un projet roumain ID-CNCS (resp. M. Alexianu).

Du témoin mobilier à la définition d'ensemble culturel

C'est le besoin d'authentifier les traditions orales qui occasionna les travaux de José Garanger sur l'îlot de Retoka et d'autres sites du centre du Vanuatu. Les travaux engagés démontrèrent la valeur historique des documents oraux, auparavant mise en doute, et le caractère complémentaire des disciplines ethnologique et archéologique « pour éclairer le passé océanien le moins ancien » (Garanger 1972).

La tradition indique qu'« à sa mort, il [Roy Mata] fut inhumé à Retoka », un îlot situé au large de la côte ouest de l'île d'Efate, peu accessible et inhabité à l'arrivée des Européens. La tradition dit encore que « son corps fut exposé dans les différents clans qui lui devaient allégeance, avant d'être transporté à Retoka. Une grande foule accompagnait sa dépouille. Une grande cérémonie, accompagnée de sacrifices, fut accomplie; qui dura plusieurs jours. Une partie de la suite de Roy Mata et des représentants de chaque clan furent enterrés vivants, ils étaient volontaires pour le suivre au pays des morts. Les hommes étaient alors inconscients, drogués par d'absorption d'une très forte dose de kava (Piper methysticum) , mais non les femmes. D'autres individus avaient été sacrifiés pendant la cérémonie funèbre. On dansa et l'on chanta puis Retoka fut déclaré "terre interdite " : nul ne pourrait plus y séjourner sans danger d'y mourir ». Le panneau présente en images les principaux résultats de la fouille archéologique qui offrent un parallèle remarquable avec le récit.

Duplicata

Duplicata des vues de terrain et d’objets depuis la première campagne jusqu’à la campagne 1981-1982 puis 1984-1985 et 1996-1997, 1998, 2000.
Présence d’un ensemble de diapositives relatives aux parures de Mehrgarh étudiée par Blanche Bathélémy de Saizieu (Ant. 2003).
Sont incluses dans cet ensemble, quelques diapositives des parures de Nausharo.

MAI336. De la campagne 1974-1975 à la campagne 1984-1985.
MAI337. De la campagne 1996-1997 à la campagne 1998.
MAI338. Campagne 2000 et parures.

Duplicata

MAI382. Campagne 1986-1987 et 1987-1988.
MAI383. Campagne 1988-1989.
MAI384. Campagne 1989-1990.
MAI385. Campagne 1992-1993.
MAI386. Campagne 1993-1994.
MAI387. Campagne 1994-1995 et 1995-1996.

Duplicata des diapositives de matériel

Numéros des diapositives :

  • 747 bis, 1583
  • 5611 à 5615, 5619, 5621 à 5634, 5636 à 5659, 5662, 5663, 5666, 5668 à 5678, 5680, 5685, 5687, 5690 à 5696, 5699
  • 5703 à 5706, 5709, 5710, 5713 à 5715, 5717 à 5735, 5737 à 5739, 5741 à 5748, 5750 à 5758, 5763 à 5773, 5776 à 5782
  • 6091 à 6145, 6147 à 6161, 6163 à 6167, 6169 à 6178, 6180 à 6223, 6226 à 6238, 6240 à 6261
  • OID1282 à OID1293, OID1295 à OID1306, OID1308 à OID1311, OID1313 à 0ID1339
    Les diapositives 747 bis et 1583 sont respectivement de 1981 et de 1984.

Duplicata et diapositives non répertoriées

Sont classés ici les duplicata (10), 1 lot de 30 diapositives numérotées (2-12, 14-26, 28-33) non légendées, 6 diapositives éparses non légendées.
Il s'agit de vues du chantier D et du matériel, du matériel du chantier E, de vues générales et de photographies des archéologues. Présence de vues de matériel dont la provenance n'a pas été identifiée.

Duplicata et diapositives non répertoriées

Sont classés dans cet article : les duplicata (16) ; 4 ensembles de diapositives sans numéro de pellicules et non légendées (62 diapositives au total) ; 17 diapositives légendées (copyright P. Plailly/Eurelios).
Les clichés non légendés sont des vues de matériel des chantiers D, E, F, G et H, des vues du chantier G, des plans du tell et des chantiers D et E, des photographies des archéologues et des paysages.

DVD de chants en Ki-Rwa

DVD de chants en Ki-Rwa (signifie la langue des Rwa) interprétés par le groupe de musique de Madame Nkasiyoi Pallangyo « ee-Yeiyo » (52 minutes 58 secondes). Copyright VEEMBI VA TIKISI SIRI YA SURA, Recorded and edited by GMT Technologies (GMTT), Arusha, Tanzania.

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